Guatteria punctata

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Guatteria punctata
Description de cette image, également commentée ci-après
Guatteria punctata par Aublet (1775)[1]
NB : le fruit dessiné ne correspond pas à cette espèce[2]
Classification Tropicos
Règne Plantae
Classe Equisetopsida
Sous-classe Magnoliidae
Super-ordre Magnolianae
Ordre Magnoliales
Famille Annonaceae
Genre Guatteria

Espèce

Guatteria punctata
(Aubl.) R.A.Howard, 1983

Statut de conservation UICN

( LC )
LC  : Préoccupation mineure

Synonymes

Selon GBIF (16 février 2023)[3] :

  • Annona chrysopetala Steud.
  • Annona punctata Aubl. - Basionyme
  • Guatteria chrysopetala (Steud.) Miq.
  • Guatteria chrysopetala var. major R.E.Fr.
  • Guatteria chrysopetala var. tenuipes R.E.Fr.
  • Guatteria chysopetala (Steud.) Miq.
  • Guatteria chysopetala var. major R.E.Fr.
  • Guatteria chysopetala var. tenuipes R.E.Fr.
  • Guatteria pteropus R.E.Fr.

Selon Tropicos (16 février 2023)[4] :

  • Annona axilliflora DC.
  • Annona chrysopetala Steud.
  • Annona punctata Aubl. - Basionyme
  • Guatteria acutissima R.E. Fr.
  • Guatteria asplundiana R.E. Fr.
  • Guatteria atra Sandwith
  • Guatteria axilliflora (DC.) R.E. Fr.
  • Guatteria buchtienii R.E. Fr.
  • Guatteria calimensis R.E. Fr.
  • Guatteria calliantha R.E. Fr.
  • Guatteria caniflora Mart.
  • Guatteria caniflora var. angustifolia Mart.
  • Guatteria caniflora Mart. var. caniflora
  • Guatteria caniflora var. latifolia Mart.
  • Guatteria cargadero Triana & Planch.
  • Guatteria chrysopetala (Steud.) Miq.
  • Guatteria chrysopetala (Steud.) Miq. var. chrysopetala
  • Guatteria chrysopetala var. major R.E. Fr.
  • Guatteria chrysopetala var. tenuipes R.E. Fr.
  • Guatteria coeloneura Diels
  • Guatteria collina R.E. Fr.
  • Guatteria elliptica R.E. Fr.
  • Guatteria gamosepala R.E. Fr.
  • Guatteria glauca Ruiz & Pav.
  • Guatteria gracilipes R.E. Fr.
  • Guatteria guentheri Diels
  • Guatteria juninensis R.E. Fr.
  • Guatteria lanceolata R.E. Fr.
  • Guatteria lasiocalyx R.E. Fr.
  • Guatteria latipetala R.E. Fr.
  • Guatteria leiocarpa R.E. Fr.
  • Guatteria longestipitata R.E. Fr.
  • Guatteria macrocalyx R.E. Fr.
  • Guatteria obliqua R.E. Fr.
  • Guatteria occidentalis R.E. Fr.
  • Guatteria olivacea R.E. Fr.
  • Guatteria ovalifolia R.E. Fr.
  • Guatteria parviflora R.E. Fr.
  • Guatteria platyphylla Triana & Planch.
  • Guatteria pleiocarpa Diels
  • Guatteria poeppigiana Mart.
  • Guatteria pteropus Benth.
  • Guatteria pteropus var. angustior R.E. Fr.
  • Guatteria pteropus var. cinerea R.E. Fr.
  • Guatteria rhamnoides R.E. Fr.
  • Guatteria sagotiana R.E. Fr.
  • Guatteria sagotiana var. gracilior R.E. Fr.
  • Guatteria sagotiana R.E. Fr. var. sagotiana
  • Guatteria sylvicola S. Moore
  • Guatteria umbonata R.E. Fr.
  • Guatteria wessels-boerii Jans.-Jac.

Guatteria punctata est une espèce de petit arbre appartenant à la famille des Annonaceae, connue en Guyane sous les noms de Mamayavé/Maman yawée, Mamayawé commun (Nenge tongo), Iliwa (Wayana), Iwi, Iwilusi, Pina? ipinu (Wayãpi), ou anciennement Pinaou (Galibi cf. Aublet 1775).

Ailleurs, on l'appelle en Bolivie Midha dhahua (Tacana), Chia, Chirimoya del monte, Chocolatillo negro, Laurel macho, Maurel canelón, Palo pancho verde, Piraquina, Piraquina de barbecho, Piraquina negra, au Brésil Seiseiunahi (Yanomami), Envira, Envira-cajú, Envira-flor-grande, Envira-fofa, Envira-manga-de-anta, Envira-preta, Envireira, Envireira-da-birida, Invira, Invireira, Taiwi’i, en Colombie Kïbojïu dujeko (Muinane), Cargadero, Cargadero negro, Garrapato (arbre à tique), Guasco dulce, Zuto en Équateur Fandicho, Fanicho, Shapattovo (Cofán), Gañitahue, Mucataremon, Oñitahua, Oñitahue, Oñitahuemo (Huaorani), Ucucha anona (Quichua), Neayatio (Secoya), Chiwiachim (Shuar), Cargadera negra, au Guyana Arara, Black Kuyama (Arawak), Black maho (Créole), Kuyama, Yarayara (Carib), au Pérou Muraya, Wámpuyais, Yaïs (Shuar), Amarillo, Anonilla, Anonilla blanca, Auca hicoja, Carahuasca, Carahuasca negra, Caravasca, Yanahuasca, Yana huasca, Zoro caspi, Zorro caspi, au Suriname Arara, Koeli koejokoe (Arawak), Baaka pau, Boesi-soensaka (Nenge tongo), Mamaai, Blaka paw (Saramaka), Boszuurzak, Krabietakaka, Panta, Pedrekoe pisi (Sranan tongo), au Venezuela Annoncillo, Majagua, Majagua blanca, Majagua hoja larga, Majagua negra, Wosewayek, Yarayara amarilla, Yarayara morada[5], Majagua anón, Majagua verde[6].

Description[modifier | modifier le code]

Guatteria punctata est un arbre ou arbuste haut de 1 à 45 m, pour 5 à 75 cm de diamètre. Les Jeunes rameaux sont densément à faiblement couverts de poils apprimés (ou rarement dressés), devenant rapidement glabres.
Les feuilles portent un pétiole long de 4-30 mm, pour 1-6 mm de diamètre. Le limbe est chartacé à coriace, de forme étroitement elliptique, parfois elliptique ou étroitement obovale, long de 7-35(-45) cm pour 3-14(-18) cm de large (indice foliaire 1,5-3,5(-5)), à base aiguë, courte à longuement atténuée, parfois obtuse ou même cordée, et à apex acuminé (acumen de 5-25 mm de long), rarement aigu. La face inférieure est de couleur brun grisâtre à brun, peu à assez densément (rarement densément) couverte de poils apprimés, la nervure primaire parfois carénée. La face supérieure est non verruqueuse, terne à brillant, de couleur gris à brun en dessus, glabre ou à nervure primaire variablement couverte de poils apprimés ou rarement dressés, la nervure primaire légèrement imprimée à plate. Les 10-25 paires de nervures secondaires distinctes, imprimées à plates au-dessus, formant des boucles distantes de la marge d'au moins 1-5 mm. Les nervures tertiaires sont plates, légèrement surélevées ou légèrement imprimées au-dessus, réticulées à percurrentes.
Les inflorescences, comptant 1-3(-5) fleurs, sont disposées à l'aisselle des feuilles ou sur des rameaux sans feuilles. Les pédicelles sont longs de 10-35(-55) mm, pour 1-2 mm de diamètre (atteignant 2-4 mm de diamètre à la fructification), densément à peu couverts de poils apprimés (à semi-dressés ou dressés), articulés à 0.2-0.5 de la base. On compte 5-7 bractées, rapidement caduques : les 2 supérieures sont elliptiques à largement elliptiques, atteignant 6(–10) mm de long (une des bractées foliacées supérieures atteigant exceptionnellement 40 par 10 mm). La bractée médiane est elliptique, longue d'environ 5 mm. Les bractées inférieures sont elliptiques à ovales ou largement ovales, longues de 1-2 mm.
Les boutons floraux sont de forme ovoïde déprimée, à l'apex obtus ou aigu. Les sépales sont libres, mesurant 4-10 x 4-10 mm, à base rarement connée, de forme ovale-triangulaire large à peu profonde, réfléchi ou apposé, à face externe densément couverte de poils apposés à dressés. Les pétales mesurant 10-40{- 50} mm sur 5-20 mm, sont de couleur verte, jaune, crème ou blanche, parfois glauques, de forme oblongue-elliptique, la face externe densément couverte de poils dressés. Les étamines sont longues de 1 à 2 mm, le connectif velu, papilleux ou glabre, ombonées ou plates.
On compte 5-100 monocarpes, mesurant 7-20 x 4-15 mm, à paroi épaisse de 0,1-1{-4} mm, portés au bout de stipes mesurant 6-30 x 0,5-2{-3} mm, de couleur verte devenant noir à noir-violet (noir à brun, parfois glauque au séchage), de forme ellipsoïde à subglobuleuse, faiblement couverts de poils étalés, devenant rapidement glabres, à sommet arrondi à apiculé (apiculum long de moins de 1 mm).
Les graines sont de forme ellipsoïde à subglobuleuse, mesurant 6-12 mm par 4-8 mm, de couleur brun clair à foncé, de texture piquée à lisse, à parfois rugueuse, et avec un raphé en relief[5].
Les fruits de cette espèce (Guatteria latipetala R.E. Fr. = Guatteria punctata (Aubl.) R.A.Howard) ressemblent à ceux de Guatteria ovalifolia R.E. Fr.[6].

Répartition[modifier | modifier le code]

Guatteria punctata est présent en Colombie (Amazonas, Antioquia, Boyacá, Cauca, Chocó, Guainía, Meta, Valle del Cauca, Vaupés, Vichada), au Venezuela (Amazonas, Bolívar, Delta Amacuro, Zulia), au Guyana, au Suriname, en Guyane, en Équateur (Azuay, Carchi, Esmeraldas, Morona-Santiago, Napo, Pastaza, Santiago-Zamora, Sucumbíos, Zamora-Chinchipe), au Pérou (Amazonas, Cajamarca, Cusco, Huánuco, Loreto, Madre de Dios, Oxapampa, Pasco, San Martín, Ucayali) et au Brésil (Acre, Amapá, Amazonas, Maranhão, Mato Grosso, Pará, Rondônia), Bolivie (Beni, Cochabamba, La Paz, Pando, Santa Cruz)[5].

Écologie[modifier | modifier le code]

On rencontre Guatteria punctata dans les forêts de terre ferme (non inondées) de plaine, submontagnardes ou montagnardes, souvent sur des sols argileux (au Venezuela dans les forêts ouvertes, parfois broussailleuses, parfois sur des pentes ou des parcelles de sable blanc[6]), autour de 0-2 800 m d'altitude (environ 50-700 m d'altitude au Venezuela[6]). Il fleurit et fructifie toute l'année[5].

Guatteria punctata est l'hôte du champignon parasite Aecidium cf. amazonense Henn.[7].

Guatteria punctata a été retrouvé parmi la régénération naturelle sur une ancienne exploitation de la bauxite et a été suggéré pour la restauration de zones dégradées[8].

Utilisations[modifier | modifier le code]

La pulpe du fruit mûr de Guatteria punctata est comestible. Ses feuilles sont employée en bain d'herbes médicinales. Son bois sert à fabriquer des planches[5].

L'huile essentielle de feuilles de Guatteria olivacea R. E. Fr. (= Guatteria punctata (Aubl.) R.A.Howard) présente des propriétés anti-tumorales dans le cancer du foie[9], mais aussi antioxydantes[10], trypanocides avec une CI50 de 0,029 μg/mL et un indice de sélectivité (IS) de 32 (34 fois plus active que le médicament de référence, la benznidazole) et fortement antibactérienne (concentrations minimales d'inhibition de 4,68 à 37,5 µg/mL contre des souches de Streptococcus mutans)[11],[12].

Les effets comportementaux d'extrait de Guatteria punctata ont été étudiés sur des souris[13].

Protologue[modifier | modifier le code]

En 1775, le botaniste Aublet décrit cette plante pour la première fois et propose la diagnose suivante[1] :

« 2. ANNONA (punctata) fructu levi, punctato, carne tubeſcente. (Tabula 247.)

Frutex trunco ramoſo, viginti-pedali 5 ramis hinc & indè ſparſis. Folia alterna, ovato-oblonga, acuta, glabra, integerrima, brevi petiolata. Flores ſolitarii, axiliares. Corolla ſublutea. Fructus ; bacca ovata, ſubrotunda, punctata, obſcurè rufa, carnosa, intùs tubeſcens, edulis.
Florebat Novembri ; fructum ferebat Aprili & Maio.
Habitat in fylvis Sinémarienſibus & propè amnem Galibienſem.
Nomen Caribæum PINAOU.

[…]

LE COROSSOL Pinaou.

Cet arbre eſt de moyenne grandeur. Son tronc eſt droit, & ſon bois blanc & fort dur.
Les feuilles ſont alternes, portées ſur un pédicule court, creuſé en gouttière à ſa partie ſupérieure. Elles ſont ovales, terminées par une longue pointe, & ont neuf pouces & plus de longueur, ſur deux & demi & plus de largeur, de couleur verte en deſſus comme en deſſous, fermés & luiſantes.
Les fleurs naiſſent ſolitaires aux aiſſelles des feuilles & le long des branches ; elles ſont portées ſur des pédoncules courts.
Le calice eſt compoſé de trois pièces aiguës, dures, coriaces, velues, jaunâtres.
Les pétales ſont au nombre de ſix, trois extérieurs & trois intérieurs. Les extérieurs ſont plus grands, terminés en pointe, charnus, de couleur jaunâtre ; les intérieurs ſont plus petits, plus charnus, & embraſſent les étamines en ſe réuniſſant par leurs angles.
Les étamines, au nombre de ſoixante, plus ou moins, ſont des anthères portées ſur des filets a peine viſibles. Elles forment toutes enſemble, par leur arrangement, un corps de figure priſmatique, au deſſous du piſtil.
Le piſtil eſt compoſé de vingt-cinq ovaires réunis enſemble, & qui portent chacun un stigmate vert, très court.
Ce piſtil devient inſenſiblement en muriſſant un fruit & la groſſeur de trois pouces environ & de forme ovale, & couleur brune en dehors, liſſe & pointillé. Sa chair eſt rougeâtre, graveleuſe, remplie de petites graines de la forme des autres eſpèces. Ce fruit eſt bon au goût, & on le mange avec plaiſir.
J'ai trouvé cet arbre dans les forêts de Sinémari, à douze lieues du bord de la mer, dans le mois de Novembre, & près la crique des Galibis, au haut de la rivière de Sinémari, dans les mois d'Avril & & Mai ; pour-lors ces fruits étoient en maturité.
Cet arbre eſt nommé PINAOU par les Galibis emploient le bois de cet arbre pour faire des lates à cauſe de la facilité qu'ils ont à le fendre ; ils en ſont auſſi des chevrons. »

— Fusée-Aublet, 1775.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume I, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, , pp. 614-616 (lire en ligne)
  2. (en) Richard A. Howard, « THE PLATES OF AUBLET'S HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE », Journal of the Arnold Arboretum, vol. 64, no 2,‎ , p. 255-292 (lire en ligne)
  3. GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 16 février 2023
  4. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 16 février 2023
  5. a b c d et e (en) P.J.M. Maas, L.Y.T. Westra, S. Arias Guerrero, A.Q. Lobão, U. Scharf, N.A. Zamora et R.H.J. Erkens, « Confronting a morphological nightmare: revision of the Neotropical genus Guatteria (Annonaceae) », Blumea - Biodiversity, Evolution and Biogeography of Plants, vol. 60, nos 1-3,‎ , p. 1-219 (DOI 10.3767/000651915X690341)
  6. a b c et d (en) Julian A. Steyermark (eds.), Paul E. Berry (eds.), Kay Yatskievych (eds.) et Bruce K. Holst (eds.), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 2, Pteridophytes, Spermatophytes, Acanthaceae–Araceae, St. Louis, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 706 p. (ISBN 9780915279746), p. 337
  7. (en) Reinhard Berndt, « First catalogue of the rust fungi of French Guiana, northern South America », Mycological Progress, vol. 12,‎ , p. 193–211 (DOI 10.1007/s11557-012-0826-x)
  8. (en) Alberto Bentes Brasil Neto, Gustavo Schwartz, Norberto Cornejo Noronha, Marcos André Piedade Gama et Gracialda Costa Ferreira, « Natural regeneration for restoration of degraded areas after bauxite mining: A case study in the Eastern Amazon », Ecological Engineering, vol. 171,‎ , p. 106392 (DOI 10.1016/j.ecoleng.2021.106392)
  9. (en) Alexandre F. C. Galvão, Morgana de S. Araújo, Valdenizia R. Silva, Luciano de S. Santos, Rosane B. Dias, Clarissa A. Gurgel Rocha, Milena B. P. Soares, Felipe M. A. da Silva, Hector H. F. Koolen, Gokhan Zengin, Emmanoel V. Costa et Daniel P. Bezerra, « Antitumor Effect of Guatteria olivacea R. E. Fr. (Annonaceae) Leaf Essential Oil in Liver Cancer », Molecules, vol. 27, no 14,‎ , p. 4407 (DOI 10.3390/molecules27144407)
  10. (pt) Márcia Bay, Anderson Rogerio dos Santos, Fernanda Bay Hurtado, Ivanildes dos Santos Bastos, Patrícia Puccinelli Orlandi et Paulo Teixeira de Sousa Jr., « ATIVIDADES ANTIOXIDANTE E ANTIBACTERIANA in vitro DE EXTRATOS VEGETAIS DA FAMÍLIA ANNONACEAE » [« In vitro ANTIOXIDANT AND ANTIBACTERIAL ACTIVITIES OF VEGETABLE EXTRACTS OF THE FAMILY ANNONACEAE »], South American Journal of Basic Education, Technical and Technological, vol. 7, no 2,‎ , p. 128–144 (lire en ligne)
  11. (en) Marcia Bay, João Vitor Souza de Oliveira, Policarpo Ademar Sales Junior, Silvane Maria Fonseca Murta, Anderson Rogério dos Santos, Ivanildes dos Santos Bastos, Patrícia Puccinelli Orlandi et Paulo Teixeira de Sousa Junior, « In Vitro Trypanocidal and Antibacterial Activities of Essential Oils from Four Species of the Family Annonaceae », Chemistry & biodiversity, vol. 16, no 11,‎ , e1900359 (DOI 10.1002/cbdv.201900359)
  12. (en) Márcia Moraes Cascaes, Odirleny dos Santos Carneiro, Lidiane Diniz do Nascimento, Ângelo Antônio Barbosa de Moraes, Mozaniel Santana de Oliveira, Jorddy Neves Cruz, Giselle Maria Skelding Pinheiro Guilhon et Eloisa Helena de Aguiar Andrade, « Essential Oils from Annonaceae Species from Brazil: A Systematic Review of Their Phytochemistry, and Biological Activities », Int. J. Mol. Sci., vol. 22, no 22,‎ , p. 12140 (DOI 10.3390/ijms222212140)
  13. (pt) Jéssica Orhana Rondon Almeida, « AVALIAÇÃO DE EFEITOS COMPORTAMENTAIS DO EXTRATO DE Guatteria punctata EM CAMUNDONGOS », Biology,‎ (lire en ligne)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • « Guatteria punctata », sur Flore de Guyane, (consulté le )