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Panzer, 1806

Ces petites abeilles solitaires forment un genre très fourni. Elles ont des manières de nicher très différentes selon les espèces

rdre : Hymenoptera
Sous-ordre : Apocrita
Infra-ordre : Aculeata
Super famille : Apoidea
Famille : Megachilidae
Sous-famille : Megachilinae
Tribu : Osmiini
Genre : Osmia
Espèce : 

Difficulté de détermination du genre

Identification

• corps assez massif
• 2 cellules cubitales
• présence d’arolium entre les griffes

Mâle
• 13 articles antennaires
• 7 segments abdominaux
• pas de dents latérales sur T6

Femelle
• présence d’une scopa ventrale
• mandibule courte et large, à longue marge masticatoire
• 12 articles antennaires
• 6 segments abdominaux

Alors que certaines espèces sont faciles à identifier, d’autres sont très complexes. Je classerais ici celles qui n’ont pas pu être nommées. Il existe 90espèces en Europe, au moins 354 dans le monde.

Étymologie

Osmia vient du grec « Osme = odeur, parfum »

Taille

6 à 16mm

Répartition géographique

Genre répandu dans les régions paléarctique et néarctique, quelques espèces sont également présentes dans la région orientale et néotropicale.
Carte GBIF

Période d’observation

Hivernation

Adulte formé à l’intérieur de son cocon, avant la sortie du nid qui aura lieu au printemps

Biologie

Les Osmia garnissent les cellules de leur nid avec du pollen qui servira de nourriture à leurs larves.
Les méthodes de nidification sont très variées chez ce genre. Selon les espèces, elles peuvent nicher dans des terriers creusés dans le sol, des tiges moelleuses ou du bois mort. Certaines creusent elles-mêmes leur galerie mais d’autres utilisent des cavités déjà existantes. Elles peuvent alors également nicher dans les trous de galles, les coquilles d’escargot vides, les fissures ou les trous des roches. D’autres encore construisent des nids exposés à l’air libre (aux parois faites de petits cailloux par exemple).
Les matériaux utilisés pour délimiter les cellules et boucher l’entrée du nid sont variés : la boue, les cailloux, la pulpe des feuilles, les pétales entiers ou la moelle.

Cleptoparasites

Coelioxys, Dioxys, Stelis, Chrysididae, Pteromalidae, Sapygidae

Genres semblables

• Le genre Hoplitis est très semblable. Les mâles possèdent des dents latérales sur T6, les mandibules des femelles sont courtes mais larges avec une marge masticatoire plus courte que la mandibule. Les Hoplitis ont des bandes pileuses limitées aux bandes apicales des tergites, ce qui n’est pas souvent le cas chez le genre Osmia.
• Le genre Megachile peut être semblable mais ne possède pas d’arolium

Sources

• Guide des abeilles d’Europe, NAP éditions
Le Monde des insectes
IDmyBee
Palaearctic Osmiine Bees
GBIF

Celle-ci, avec sa brosse ventrale entièrement rousse, photographiée en Ariège, pourrait appartenir à au moins 3 espèces : Osmia leaiana, Osmia niveata et Osmia labialis. Pour aller plus loin, il aurait fallu une meilleure vue du clypéus.
Voir le sujet correspondant sur insecte.org

Hübner, 1796

La chenille de cette espèce a la particularité de garder les capsules céphaliques de ses anciennes mues sur la tête

Ordre : Lepidoptera
Sous-ordre : Glossata
Infra-ordre : Heteroneura
Super famille : Noctuoidea
Famille : Nolidae
Sous-famille : Nolinae
Tribu : Nolini
Genre Meganola
Espèce Meganola togatulalis

Difficulté de détermination de la chenille

Statut de conservation

Non évalué
Espèce déterminante ZNIEFF

Identification

Chenille
• blanchâtre
• très longues soies
• cumule les capsules céphaliques des anciennes mues sur la tête

Taille

18 à 27mm d’envergure

Habitat

Milieux boisés

Répartition géographique

Toute l’Eurasien sauf le nord.
Partout en France, plus commune dans le sud
Carte INPN
Carte GBIF

Période de vol

Il y a 2 générations, surtout dans les régions les plus méridionales

Plantes hôtes

Quercus coccifer, Quercus ithaburensis, Quercus pubescens, Crataegus azarolus. A été élevée sur Prunus dulcis, Prunus spinosa, Rubus sanctus

Biologie

La chenille ne mange pas les nervures des feuilles, les laissant comme un squelette. Le cocon est tissé sur une tige ou une branchette et est camouflé avec des débris végétaux.

Espèces semblables

Pour la chenille :
Aucune, c’est la seule à cumuler les capsules céphaliques de ses anciennes mues sur sa tête.

Sources

• Guide des papillons nocturnes de France, Delachaux et Niestlé
INPN
Plant Parasites of Europe
Lepiforum

Retour aux Nolidae Retour aux Lépidoptères

Meigen, 1826

Cette petite mouche aux ailes joliment bariolées vit sur les bryones

Ordre : Diptera
Sous-ordre : Brachycera
Infra-ordre : Muscomorpha
Super famille : Tephritoidea
Famille : Tephritidae
Sous-famille : Tephritinae
Tribu : Carpomyini
Genre Goniglossum
Espèce Goniglossum wiedemanni

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Non évalué

Identification

• grosse tête jaune à face allongée
• thorax orangé à taches noires
• 3 taches noires sur le scutellum, dont une grosse au milieu
• abdomen orange plus ou moins sombre
• tergites pouvant présenter des taches brunâtres à la base, à marge apicale jaunâtre
• ailes à bandes brunes bordées de noir
• une bande en « V » près de l’apex
• une bande médiane
• une autre petite bande près de la base

Taille

3,5 à 5,5 mm

Habitat

Là où poussent les bryones (haies et sous-bois)

Répartition géographique

Europe
Carte INPN
Carte GBIF

Période d’observation

Biologie

Les larves se développent dans les baies de diverses espèces de bryones

Plantes hôtes

Cucurbitaceae : Bryonia alba, Bryonia dioica

Espèces semblables

Carpomya schineri possède 4 taches sur le scutellum, dont deux sur la pointe de ce dernier (contre une grosse pour G. wiedemanni). Cette espèce se développe sur Rosa.
Ceratitis capitata n’a pas la tête aussi allongée. Son abdomen est jaune à deux bandes grises. La tache apicale des ailes n’est pas aussi large et forme deux traits distincts. La moitié basale des ailes présente des petits traits et points noirs assez marqués et particuliers. Cette espèce est polyphage mais n’est pas notée sur Bryonia.

Sources

INPN
Plant Parasites of Europe
Wikipedia
NatureSpot

Retour aux Tephritidae Retour aux Diptères

Bigot, 1876

Cette espèce d’Amérique latine, introduite accidentellement en Europe, a longtemps été confondue avec Trichopoda pennipes, autre espèce américaine à priori absente de chez nous

Ordre : Diptera
Sous-ordre : Brachycera
Infra-ordre : Muscomorpha
Super famille : Oestroidea
Famille : Tachinidae
Sous-famille : Phasiinae
Tribu : Trichopodini
Genre Trichopoda
Espèce Trichopoda pictipennis

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Non évalué

Identification

• vivement colorée
• thorax noir et jaune
• ailes a costa orange, suivie d’une bande noire, puis le bord interne est hyalin
• série de larges soies en forme de plumes sur la 3ème paire de pattes

Mâle
• abdomen orangé
• partie postsuturale du thorax souvent marquée de jaune
• costa de l’aile largement orange
• pulvillus bien développés (caractère constant contrairement à ceux de couleur qui peuvent varier)

Femelle
• abdomen noirâtre
• partie postsuturale du thorax souvent entièrement noire
• costa de l’aile pouvant être envahie de brun
• pulvillus beaucoup plus petits

Étymologie

Trichopoda vient du grec « tricho = poil, cheveu » et « podos, pous = pied » en référence aux longs poils de ses pattes postérieures
Pictipennis vient du latin « pictus = peindre, peint » et « penna = plume, aile », en référence à la coloration de ses ailes

Taille

6 à 10mm

Répartition géographique

Espèce originaire d’Amérique du sud, introduit comme moyen de lutte biologique contre Nezara viridula en Nouvelle-Zélande et en Australie, introduite accidentellement en Europe.
Carte INPN
Carte GBIF

Période d’observation

Hivernation

Larve dans l’hôte

Biologie

Elle parasite les punaises de la famille des Pentatomidae. La femelle pond un ou plusieurs œuf sur le corps de la punaise (on peut régulièrement voir ces œufs blancs très fortement fixés sur les punaises). Après éclosion, la larve pénètrera dans le corps de celle-ci puis se nourrira de ses fluides internes. A la fin de son développement qui prend environ deux semaines, la larve quitte le corps de la punaise puis se nymphose dans le sol. L’adulte émergera environ 2 semaines plus tard. Il peut y avoir jusqu’à 3 générations par an.

Hôtes

Punaise Pentatomidae : Nezara viridula (seul hôte connu pour l’instant en Europe)

Régime

Tandis que les larves sont endoparasites de punaises, les adultes sont floricoles

Espèces semblables

Elle ressemble à première vue à une Tachinidae du genre Phasia ou Ectophasia, mais ces dernières n’ont pas ces longues soies aux pattes postérieures.

Sources

The American genus Trichopoda (Diptera: Tachinidae) in Europe – Decades of a misidentified invasive species
INPN
Wikipédia
Biodiv.SONE

Retour aux Tachinidae Retour aux Diptères

Börner, 1932

Ces pucerons se développent sur les ronciers, provoquant un enroulement des feuilles. Cette espèce a de nombreux parasitoïdes, dont plusieurs sont important pour la lutte biologique en agriculture. Aphis ruborum est donc un précieux réservoir à parasitoïde en Europe.

Ordre : Hemiptera
Sous-ordre : Sternorrhyncha
Infra-ordre :
Super famille : Aphidoidea
Famille : Aphididae
Sous-famille : Aphidinae
Tribu : Aphidini
Genre Aphis
Espèce Aphis ruborum

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Non évalué

Identification

• déformation sur les feuilles terminales, qui sont fortement enroulées vers l’intérieur
• vit aussi sur les pousses vertes en colonies denses

Aptère
• corps globuleux
• bleu-vert foncé à jaune-vert pâle
• cornicules courtes et pâles, souvent avec la base et l’apex sombre
• cauda pâle
• pattes et antennes pâles

Ailé
• vert foncé ou vert pâle avec quelques bandes dorsales pâles
• cornicules foncées

Taille

1 à 2,2 mm pour les formes aptères

Répartition géographique

Largement répandu à travers l’Europe en Afrique du Nord et en Asie centrale.
Carte INPN
Carte GBIF

Période d’observation

Hivernation

Œufs à la base des bourgeons

Biologie

Au printemps, des colonies denses se développent sur les jeunes pousses de ronciers. Un enroulement des feuilles finit par se produire. À la fin de l’été, on peut trouver des aptères nains vivant seuls sur la face inférieure de la feuille entre les nervures. Les formes sexuées se produisent en automne. Cette espèce est surveillée par les fourmis.

Plantes hôtes

Rosaceae : Rubus bifrons, Rubus caesius, Rubus fruticosus, Rubus plicatus, Rubus silesiacus, Rubus ulmifolius, parfois sur Fragaria × ananassa, Fragaria vesca. Presque jamais sur Rubus idaeus.

Parasitoïdes

Aphidius colemani, Aphidius matricariae, Binodoxys acalephae, Binodoxys angelicae, Ephedrus persicae, Lipolexis gracilis, Lysiphlebus confusus, Lysiphlebus fabarum, Praon abjectum

Espèces semblables

Ce puceron est assez facile à reconnaitre sur les ronciers grâce aux déformations des feuilles terminales dont il est à l’origine. Certaines espèces peuvent également causer de telles déformations lorsque les colonies sont nombreuses (Macrosiphum funestum et Amphorophora rubi) mais ces derniers ont un corps moins globuleux avec de plus longues cornicules et de plus longues antennes.

Sources

Gallers on genus Rubus – Plant Parasites of Europe
INPN
Influentialpoints
Inrae
Plant Parasites of Europe

2024

Retour aux Aphididae Retour aux Pucerons, Psylles et Cochenilles

Hübner, 1799

Cette tordeuse se nomme ainsi car elle est connue pour causer des dégâts dans les cultures d’œillets, mais elle est en réalité très polyphage

Ordre : Lepidoptera
Sous-ordre : Glossata
Infra-ordre : Heteroneura
Super famille : Tortricoidea
Famille : Tortricidae
Sous-famille : Tortricinae
Tribu : Archipini
Genre Cacoecimorpha
Espèce Cacoecimorpha pronubana

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Non évalué

Identification

• assez trapue, costa des ailes antérieure nettement bombée
• ailes postérieures orange vif

Mâle
• ailes antérieures brun orangé à brun foncé
• bande médiane sombre pouvant être interrompue en son centre, souvent à teinte violacée
• marge des ailes assombrie également, bande sombre rejoignant la bande médiane sur la costa
• parfois tache sombre près de la base de l’aile, sur le bord interne

Femelle
• ailes antérieures brun-beige et réticulées de brun plus sombre
• tache médiane plus sombre au bord interne
• souvent une autre tache un peu plus haut au niveau de la costa
• ces deux taches résultent d’une bande médiane en grande partie effacée
• parfois tache sombre près de la base de l’aile, sur le bord interne

Chenille
• verte plus ou moins foncée
• courtes soies raides blanches
• tête brune
• bouclier thoracique vert brunâtre à brun jaunâtre, généralement à taches sombres sur l’arrière

Oeufs
• aplatis et ovales
• d’abord vert clair puis jaune

Taille

14 à 24mm d’envergure

Habitat

Parcs, jardins, vergers, serres, surtout à basse altitude

Répartition géographique

Afrique du nord, Europe occidentale jusqu’en Asie Mineure. Introduite en Afrique du Sud et en Amérique du Nord, où elle est présente dans le nord-ouest du Pacifique (Oregon et Washington).
Semble répandue partout en France.
Carte INPN
Carte GBIF

Période d’observation

Dans le sud, jusqu’à 4 générations peuvent se succéder, contre 2 dans le nord

Biologie

Les œufs sont pondus en petits groupes sur les feuilles. Les chenilles vivent dans des feuilles reliées entre elles par de la soie, mais sur les plantes à cuticule épaisse elles peuvent être mineuses au premier stade.

Plantes hôtes

Très polyphage : Arbutus, Armeria pungens, Artemisia verlotiorum, Asphodelus, Bassia scoparia, Bupleurum fruticosum, Cercis siliquastrum, Cistus calycinus, Citrus, Daphne gnidium, Dianthus, Dorycnium rectum, Erigeron canadensis, Euonymus japonicus, Euphorbia amygdaloides, Fragaria, Fuchsia, Hedera helix, Helichrysum italicum, Hippophae rhamnoides, Hylotelephium spectabile, Hypericum, Juniperus squamata, Laurus nobilis, Lavandula stoechas, Ligustrum, Lycopersicon esculentum, Malus dumestica, Melilotus, Mentha suaveolens, Myrtus, Nepeta, Pelargonium, Picea glauca, Pyrus bourgaeana, Retama monosperma, Rhamnus alaternus, Rhamnus lycioides, Robinia, Rosa, Rosmarinus, Rubus, Salix, Sixalix atropurpurea, Skimmia japonica, Tamarix, Thuja occidentalis, Viburnum tinus, Vitis vinifera.

Espèces semblables

Aucune, en tout cas pour le mâle (je n’ai pas encore rencontré de femelles).
Certaines formes peuvent faire penser à Acleris notana mais chez cette dernière la zone marginale des ailes n’est pas assombrie et ses ailes sont plus longues, à costa moins bombée.
Pareil pour le genre Pandemis, la marge des ailes n’est pas assombrie sur toute sa longueur, il y a au plus une tache sombre sur la costa dans la zone marginale.

Sources

INPN
UKmoths
Factsheet – Cacoecimorpha pronubana
Oreina
Lepiforum
Plant Parasites of Europe
Koppert
Tout un monde dans mon jardin

2024

Retour aux Tortricidae Retour aux Lépidoptères

Moench, 1794

Cette plante méditeranéenne ressemble à un chardon à fleur de centaurée

Famille : Asteraceae

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Préoccupation mineure à l’échelle nationale et européenne
Espèce déterminante ZNIEFF

Identification

• plante recouverte d’une pilosité blanche filamenteuse
capitules roses, à fleurs extérieures grandes et rayonnantes
involucre aranéeux à bractées droites et dressées
• feuilles très étroites et épineuses, tachées de blanc
• les fruits sont des akènes bruns et luisants

Autres noms

Galactitès tomenteux, Galactitès élégant, Centaurée galactitès, Centaurée tomenteuse

Étymologie

Galactites vient du grec « gála = lait », allusion aux taches blanches des feuilles
Tomentosus signifie en latin « couvert de petits poils » en référence à la pilosité tomenteuse des tiges et des rameaux.

Type végétatif

Vivace

Habitat

Terrains incultes et bords de chemins

Répartition géographique

France, Portugal, Espagne, Italie, Grèce, Afrique septentrionale
En France, région méditerranéenne et Corse, remonte au Sud-Ouest la vallée de la Garonne et celle du Tarn, dans le Lot-et-Garonne et la Gironde
Carte INPN
Carte GBIF

Floraison

Êtres vivants associés

Coléoptère Apionidae : Ceratapion onopordi
Coléoptère Chrysomelidae : Cassida algirica, Sphaeroderma rubidum
Coléoptère Curculionidae : Lixus scolopax, Rhinocyllus conicus
Diptère Tephritidae : Acanthiophilus walkeri (?), Acanthiophilus helianthi, Chaetostomella cylindrica, Terellia colon, Terellia serratulae, Urophora stylata
Hétéroptère Coreidae : Coriomeris hirticornis
Hétéroptère Tingidae : Tingis cardui, Tingis maderensis
Homoptère Aphididae : Aphis fabae, Brachycaudus cardui, Brachycaudus helichrysi, Dysaphis lappae cynarae
Homoptère Coccidae : Saissetia oleae
Lépidoptère Depressariidae : Agonopterix subpropinquella
Lépidoptère Erebidae : Ocnogyna baetica
Lépidoptère Noctuidae : Hecatera weissi
Lépidoptère Nymphalidae : Vanessa cardui
Thysanoptère Aeolothripidae : Aeolothrips tenuicornis
Thysanoptère Phlaeothripidae : Haplothrips distinguendus
Champignons : Puccinia cnici-oleracei (?), Puccinia galactitis

Espèces semblables

Cette espèce est assez facile à reconnaitre avec ses capitules à fleurs extérieures plus grandes que les autres et rayonnantes, ses bractées droites et dressées et ses feuilles étroites et épineuses.

Sources

INPN
FLOREALPES
Tela Botanica
Plant Parasites of Europe

2024

Retour aux Asteraceae Retour aux Plantes à fleurs

Jacq., 1774

Cette plante vigoureuse et grimpante est dioïque, les fleurs mâles et femelles sont portées sur des pieds différents

Famille : Cucurbitaceae

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Préoccupation mineure à l’échelle nationale

Identification

• plante rampante et grimpante
• plante recouverte de soies
• tige munie de vrilles spiralées en tire-bouchon opposées aux feuilles
• fleurs vert pâle à 5 lobes nervurés de vert plus sombre
• fleurs disposées en cyme à l’aisselle des feuilles
• fleurs mâles plus grandes, longuement pédonculées et portant 5 étamines soudées entre elles par deux, la 5ème restant libre
• fleurs femelles plus petites, à pédoncule court et à 3 stigmates velus
sépales triangulaires, deux fois plus courts que les pétales
• feuilles en cœur à la base, divisées en 5 à 7 lobes
• le fruit est une baie globuleuse, lisse et rouge, contenant 6 graines

Autres noms

Bryonia cretica subsp. dioica

Étymologie

Bryonia vient du grec « bryo, bryein = pousser très fort », car cette plante est très vigoureuse et pousse vite.
• Dioica vient du grec « di = deux » et « oïkos = maison », car les fleurs mâles et les fleurs femelles sont sur des pieds différents

Type végétatif / Sexualité

Vivace / Dioïque

Taille

1 à 3m pour la plante, 5 à 7 mm pour une fleur

Habitat

Haies et sous-bois de 0 à 1400m

Répartition géographique

Toute la France et Corse
Europe centrale et méridionale, Asie occidentale, Afrique septentrionale.
Cartes INPN et GBIF

Floraison

Êtres vivants associés

Coléoptères Coccinellidae : Henosepilachna elaterii, Henosepilachna argus
Coléoptère Curculionidae : Aulacobaris villae
Diptère Agromyzidae : Liriomyza strigata
Diptères Cecidomyiide : Jaapiella parvula, Jaapiella bryoniae
Diptère Tephritidae : Goniglossum wiedemanni
Homoptère Aleyrodidae : Trialeurodes vaporariorum
Homoptère Aphididae : Aphis spiraecola, Aphis fabae
Lépidoptère Tortricidae : Phtheochroa ingridae, Phtheochroa annae, Phtheochroa rugosana
Champignons : Golovinomyces orontii, Pseudoperonospora cubensis, Puccinia isiacae

Espèces semblables

• La Bryone blanche (Bryonia alba) a des fruits noirs, ses feuilles ont des dents irrégulières et plus aigues, les dents du calice égalent les pétales et le stigmate est glabre. Elle est monoïque. Je n’arrive pas à connaitre sa répartition chez nous, les cartes de l’INPN et de Tela Botanica sont très différentes (confusion avec B. dioica ?).

Sources

INPN
FLOREALPES
Tela Botanica
Infoflora
Identification assistée par ordinateur
Wikipédia
Dictionnaire etymologique de la flore francaise Gentil 1923
Dictionnaire étymologique de la flore francaise par J. P. Ferrari
Plant Parasites of Europe

2024

Retour aux Cucurbitaceae Retour aux Plantes à fleurs

Tausch ex Opiz, 1820

Cette grande fougère se rencontre, pour la France, dans les régions montagneuses

Famille : Athyriaceae

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Espèce protégée

Préoccupation mineure à l’échelle nationale
Espèce déterminante ZNIEFF

Identification

• frondes en touffes
• pétiole court et écailleux
• frondes lancéolées, à limbe finement découpé, à pennes nombreuses, les inférieures plus courtes
• pennes divisées en pinnules dentées
sores arrondis, à indusie très réduite et très rapidement caduque

Autres noms

Fougère alpestre, Athyrium des Alpes, Athyrium à feuilles distendues

Étymologie

Athyrium vient du grec « thurion = petite porte », en référence aux indusies d’Athyrium filix-femina qui se révèlent d’un côté lors de la maturation des sporanges.
Distentifolium vient du latin « distentus = étendu, étalé » et « folium = feuille » car ses feuilles sont étalées

Type végétatif

Vivace

Taille

30 à 80cm de haut

Habitat

Surtout montagnarde au-dessus de 1000m et jusqu’à 2500m, dans les pentes herbeuses, les mégaphorbiaies, les aulnaies vertes et les éboulis. Se trouve également à basse altitude en Europe du nord.

Répartition géographique

Europe, Asie Mineure, Caucase, Amérique boréale.
En France, Vosges, Jura, Alpes, Forez et Auvergne, Pyrénées.
Cartes INPN et GBIF

Floraison

Êtres vivants associés

Diptère Anthomyiidae : Chirosia betuleti
Homoptère Aphididae : Macrosiphum dryopteridis, Macrosiphum lapponicum (?)
Hyménoptère Blasticotomidae : Blasticotoma filiceti
Hyménoptère Tenthredinidae : Heptamelus dahlbomi

Espèces semblables

• Lors de l’identification de cette fougère, j’hésitais avec le genre Dryopteris, mais chez ce dernier les indusies sont en général bien développées (elles peuvent cependant disparaitre après libération des spores, d’où mon doute). Les sores et les pinnules colleraient mieux pour Athyrium.
• La Fougère femelle (Athyrium filix-femina), seule autre espèce du genre en Europe, lui ressemble mais ses sores sont disposés en forme de croissant à indusie persistante.

Sources

Sujet sur Champis.net
INPN
• Les Fougères et plantes alliées d’Europe, Biotope éditions
FLOREALPES
Tela Botanica
Plant Parasites of Europe

2022

Retour aux Athyriaceae Retour aux Fougères et Lycophytes

Linnaeus, 1753

Cette plante possèderait la caractéristique de soigner les verrues grâce à son suc. Ses graines sont dispersées par les fourmis

Famille : Papaveraceae

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Préoccupation mineure à l’échelle nationale et européenne

Identification

• tige fragile, dressée et ramifiée, velue
• produit un latex jaune lorsqu’on casse les tiges
• fleurs disposées en petites ombelles, à pédoncules inégaux
• 4 pétales jaunes et nombreuses étamines
sépales verdâtres poilus rapidement caducs
• feuilles profondément découpées en 5 à 7 segments ovales et lobés
• le fruit est une longue capsule subcylindrique et bosselée, plus ou moins contournée, s’ouvrant par deux valves de bas en haut à maturité

Autres noms

Grande chélidoine, Chélidoine élevée, Herbe à la verrue, Éclaire, Grande éclaire, Chélidoine éclaire

Étymologie

Chelidonium vient du grec « khelidốn = hirondelle » car cette plante fleurit à l’arrivée des hirondelles et fane à leur départ. On croyait aussi que les hirondelles frottaient les yeux de leurs petits avec des fragments de cette plante pour les ouvrir.
Majus est un comparatif neutre de « magnus = grand »

Type végétatif / Sexualité

Vivace / Hermaphrodite

Taille

15 à 80cm de haut, 15 à 20mm pour une fleur

Habitat

Vieux murs, décombres, bords des chemins et des cours d’eau, jusqu’à 1500m

Répartition géographique

Toute la France
Europe, Asie, Afrique et Amérique septentrionales
Cartes INPN et GBIF

Floraison

Êtres vivants associés

Acarien Tetranychidae : Tetranychus turkestani
Coléoptère Tenebrionidae : Opatrum sabulosum
Diptère Cecidomyiidae : Jaapiella chelidonii
Homoptère Aleyrodidae : Aleyrodes lonicerae, Aleyrodes proletella, Trialeurodes vaporariorum
Homoptère Aphididae : Acyrthosiphon chelidonii
Lépidoptère Noctuidae : Euplexia lucipara
Nématode : Meloidogyne hapla
Champignons : Septoria chelidonii, Entyloma chelidonii, Erysiphe macleayae, Ramularia chelidonii, Melampsora magnusiana, Melampsora populnea

Espèces semblables

Aucune

Sources

Dictionnaire etymologique de la flore francaise Gentil 1923
INPN
FLOREALPES
Tela Botanica
Maflorefc
Infoflora
Wikipédia
Plant Parasites of Europe

2024

Retour aux Papaveraceae Retour aux Plantes à fleurs

(L.) A.Haines, 2003

Ce lycopode pousse dans les sous-bois montagnards sur sol acide

Famille : Lycopodiaceae

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Espèce protégée

Préoccupation mineure à l’échelle nationale et européenne
Espèce déterminante ZNIEFF

Identification

• tige longuement rampante et ramifiée, à rameaux dressés
• sporophylle en épi cylindrique vert clair, solitaire et sessile au sommet des rameaux
• feuilles étalées, presque perpendiculaires à l’axe de la tige, coriaces, lancéolées, à extrémité aigue et sans soie

Autres noms

Lycopodium annotinum

Étymologie

Spinulum vient du latin « spina = épine » et fait allusion à l’extrémité épineuse des feuilles
Annotinum signifie « annuel, âgé d’un an » en référence aux constrictions qui marquent la croissance des rameaux et permettent de distinguer les pousses de l’année passée.

Type végétatif

Vivace

Taille

3 à 30cm, 10 à 16mm de haut pour l’inflorescence

Habitat

Sous-bois montagnards sur sol acide, parmi les mousses et les myrtilles, jusqu’à 2400m

Répartition géographique

Régions froides et tempérées de l’hémisphère nord
En France, dans les bois et les montagnes de l’est ainsi que dans les Pyrénées.
Cartes INPN et GBIF

Floraison

Êtres vivants associés

Champignon : Phaeosphaeria lycopodina

Espèces semblables

• Le Lycopode en massues (Lycopodium clavatum) possède une longue soie blanche à l’extrémité de ses feuilles. Les épis sont portés par un pédoncule généralement long, mais attention car il est parfois très court chez Lycopodium clavatum ssp.monostachyon (il suffit alors de vérifier le présence de la soie blanche à l’apex des feuilles).

Sources

• Les Fougères et plantes alliées d’Europe, Biotope éditions
INPN
FLOREALPES
Tela Botanica
Wikipédia
Plant Parasites of Europe

2022

Retour aux Lycopodiaceae Retour aux Fougères et Lycophytes

(L.) Jacq., 1762

Cette plante forme de denses coussins sur les rochers

Famille : Caryophyllaceae

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Préoccupation mineure à l’échelle nationale
Espèce déterminante ZNIEFF

Identification

• pousse en coussins au ras du sol
• petites fleurs roses et solitaires
• pétales plus ou moins échancrés, à écailles courtes à la base
calice en cloche, rougeâtre à 10 nervures et à dents obtuses
• feuilles linéaires et ciliées sur les bords
• le fruit est une capsule oblongue plus longue que le calice, s’ouvrant par 6 dents

Étymologie

• Silene vient du dieu grec du même nom, père adoptif de Dionysos, car il était ventru comme le calice de plusieurs espèces de ce genre
Acaulis vient du grec « kaulos = tige » avec le préfixe privatif -a et signifie « sans tige », bien qu’elle possède une petite tige parfois assez développée.

Type végétatif / Sexualité

Vivace / Dioïque ou hermaphrodite

Taille

1 à 3cm de haut pour la plante, 6 à 9mm de diamètre pour une fleur

Habitat

Milieux rocailleux, pierriers, jusqu’à 3700m

Répartition géographique

En France, Alpes et Pyrénées.
Régions alpines et zone arctique de l’Europe jusqu’à l’Islande et au Spitzberg, Asie et Amérique boréales jusqu’au Groenland.
Cartes INPN et GBIF

Floraison

Êtres vivants associés

Diptère Cecidomyiidae : Jaapiella alpina
Hétéroptère Piesmatidae : Parapiesma silenes, Parapiesma unicolor
Lépidoptère Coleophoridae : Coleophora tractella, Coleophora nubivagella
Lépidoptère Crambidae : Orenaia lugubralis, Catharia simplonialis
Lépidoptère Gelechiidae : Sattleria melaeucella, Sattleria basistrigella
Lépidoptère Geometridae : Sciadia tenebraria
Lépidoptère Noctuidae : Anarta melanopa
Lépidoptère Scythrididae : Scythris speyeri, Scythris glacialis
Lépidoptère Tortricidae : Sphaleroptera occidentana, Sphaleroptera alpicolana
Champignons : Microbotryum silenes-acaulis, Microbotryum violaceum, Puccinia arenariae

Espèces semblables

Aucune.
La Saponaire de Montpellier (Saponaria ocymoides) pousse aussi en touffe à ras du sol et peut à première vue y ressembler, mais ses feuilles sont plus grandes et ses calices sont cylindriques, plus étroits

Sources

FLOREALPES
INPN
Tela Botanica
Infoflora
Plant Parasites of Europe

2022

Retour aux Caryophyllaceae Retour aux Plantes à fleurs

Harris, 1778

Les larves de ce syrphe se développent dans de petits points d’eau riches en végétation en décomposition

Ordre : Diptera
Sous-ordre : Brachycera
Infra-ordre : Muscomorpha
Super famille : Syrphoidea
Famille : Syrphidae
Sous-famille : Eristalinae
Tribu : Sericomyiini
Genre Sericomyia
Espèce Sericomyia silentis

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Préoccupation mineure à l’échelle européenne

Identification

• corps large
• face allongée vers le bas
• yeux glabres
• arista plumeuse
• thorax brun sombre
• scutellum foncé, parfois à teinte rougeâtre
• larges bandes jaunes se touchant presque au milieu de l’abdomen
apex de l’abdomen jaune
• pattes jaunâtres, fémurs noirs à la base
• ailes légèrement teintées de brun
• zone costale orangée

Le mâle a les yeux qui se touchent

La femelle a les yeux espacés

Taille

14 à 18mm

Habitat

Tourbières et marécages, également landes à bruyères en Suède

Répartition géographique

Europe centrale et du nord, à travers l’Asie jusqu’au Japon
En France, semble répartie dans le nord et en montagne
Cartes INPN et GBIF

Période d’observation

Larve

De type ver à queue de rat, elle se développe dans de petits points d’eau riches en végétation en décomposition

Espèces semblables

C’est la seule du genre à posséder l’apex de l’abdomen jaune (valable au moins pour l’Europe du nord et la France). En France, la seule autre espèce de Sericomyia est Sericomyia lappona, qui en plus d’avoir l’apex de l’abdomen noir a des taches abdominales blanchâtres et des pattes oranges.

Sources

• Hoverflies of Northwest Europe, M.P. van Veen
INPN
Artdatabanken
Steven Falk
Clé du genre Sericomyia en Suède

2022

Retour aux Syrphidae Retour aux Diptères

Linnaeus, 1758

Ce syrphe se rencontre dans les tourbières et les marécages

Ordre : Diptera
Sous-ordre : Brachycera
Infra-ordre : Muscomorpha
Super famille : Syrphoidea
Famille : Syrphidae
Sous-famille : Eristalinae
Tribu : Sericomyiini
Genre Sericomyia
Espèce Sericomyia lappona

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Préoccupation mineure à l’échelle européenne
Espèce déterminante ZNIEFF

Identification

• corps large
• face allongée vers le bas
• yeux glabres
• arista plumeuse
• haltères à tête noire
• thorax noir
• scutellum rougeâtre
• bandes abdominales blanchâtres et étroites, assez rapprochées au centre de l’abdomen
apex de l’abdomen noir
• pattes oranges, base des fémurs noire
• ailes légèrement teintées de brun
• zone costale orangée

Le mâle a les yeux qui se touchent

La femelle a les yeux espacés

Taille

12 à 14mm

Habitat

Tourbières et marécages

Répartition géographique

Europe centrale et du nord, en Asie jusqu’à la côte Pacifique
Cartes INPN et GBIF

Période d’observation

Larve

De type ver à queue de rat, elle se développe dans les mares tourbeuses ou la tourbe humide

Espèces semblables

En France, l’autre espèce du genre est Sericomyia silentis qui a l’apex de l’abdomen jaune.
En Europe du nord, il existe deux autres espèces : Sericomyia jakutica et Sericomyia arctica. Leur scutellum serait un peu plus sombre. La tête des haltères est brun-orangé. Les bandes abdominales sont plus largement séparées et d’un jaune plus intense (je ne sais pas si ce dernier critère sur la couleur des bandes est systématiquement valable).
Il y a aussi en Europe du nord Sericomyia nigra dont le scutellum est noir.

Sources

• Hoverflies of Northwest Europe, M.P. van Veen
INPN
Clé du genre Sericomyia en Suède
Steven Falk
Artdatabanken
Arthropodafotos.de

2022

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Linnaeus, 1758

La larve de ce coléoptère se développe dans le bois mort de conifères. En France, on rencontre cette espèce dans les Alpes et les Pyrénées

Ordre : Cleoptera
Sous-ordre : Polyphaga
Infra-ordre : Cucujiformia
Super famille : Chrysomeloidea
Famille : Cerambycidae
Sous-famille : Lepturinae
Tribu : Lepturini
Genre Lepturobosca
Espèce Lepturobosca virens

Difficulté de détermination

Statut de conservation

Préoccupation mineure à l’échelle européenne, mais Quasi menacé en Rhône-Alpes
Espèce déterminante ZNIEFF

Identification

• corps robuste et allongé
• bords latéraux du pronotum arrondis
• épaules saillantes
• élytres devenant plus étroits vers l’apex
• corps recouvert d’une dense pilosité jaune verdâtre, parfois jaune grisâtre ou jaune brunâtre
• base des articles antennaires orangée
• pattes longues et robustes

Mâle :
• antennes atteignant le tiers apicel des élytres
• élytres plus nettement atténués à l’apex

Femelle :
• antennes atteignant le milieu des élytres
• élytres moins nettement atténués à l’apex

Taille

14 à 22mm

Habitat

En France, c’est une espèce de montagne, que l’on trouve dans les clairières et les forêts de conifères jusqu’à 2000m. Dans le nord de son aire, se rencontre à basse altitude.

Répartition géographique

Alpes et Pyrénées
Europe septentrionale, Sibérie, Mongolie, Chine du nord. En Europe moyenne dans les régions montagneuses, des Pyrénées à l’Ukraine.
Carte INPN
Carte GBIF

Période d’observation

Plantes hôtes

Abies, Picea abies, Pinus, noté aussi sur Betula

Biologie

Les œufs sont pondus dans l’écorce ou dans les fissures des vieux troncs et des grosses branches tombés au sol. La larve se développe en plusieurs années dans le bois mort. Elle se nymphose dans le bois à la fin du printemps ou au début de l’été. Les adultes sont souvent observés sur les troncs et les fleurs, en particulier d’ombellifères.

Espèces semblables

Aucune

Sources

• Coléoptères Cerambycidae de la Faune de France continentale et de Corse, Pierre Berger
INPN
Coléoptères Cerambycidae (faunedefrance.org)
Longhorn beetles (Cerambycidae, Coleoptera) of the West Palaearctic region and countries of the former USSR
Uk beetles
Plant Parasites of Europe

2023

2022

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