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(c). Ne diffère de (b) que par l'apposition d'une deuxième enveloppe secondaire, Vendospore, à l'intérieur de la précédente.
(d). C'est le cas de diverses spores pourvues d'ornements qui ne sont que des épais-sissements localisés de la périspore, extérieurement tapissés par l'ectospore (ici, ligne externe pointillée). Dans l'exemple schématisé, toutes les enveloppes du corps de la spore se poursuivent dans la paroi de l'appendice apiculaire ; il n'y a pas d'enveloppes secon¬ daires ; il y a, par contre, un bouchon apiculaire secondaire (ici en pointillé) au-dessus du bouchon primaire (ici en blanc) et ce bouchon secondaire est sans rapports de conti¬ nuité avec une quelconque enveloppe de la paroi du corps de la spore.
(e). C'est le cas de la spore des Ripartites. L'obturation de l'appendice apiculaire s'achève par la formation d'un «couvercle » plus ou moins opaque (ici en noir), dont le bord aminci est en continuité avec une fine pellicule opaque, l'«endocorium » (? = subendospore), qui limite la paroi du corps de la spore du côté du protoplasme. L'étroit espace blanc qui, dans ce schéma, sépare l'endocorium du reste de la paroi sporique ne correspond à aucune différenciation réelle. L'endocorium tapisse, en effet, étroitement la face interne de la paroi ; c'est uniquement pour éviter une confusion entre le contour interne de celle-ci, tel qu'il est représenté dans les schémas (b), (c), (d), et l'endocorium que l'espace en question a été ménagé.
R. KUHNER. -Les grandes lignes de la classification des Agaricales, Plutéales, Tricholomatales.